samedi 16 février 2013

Adrian dans The Indigo Spell : Richelle Mead nous révèle sa source d'inspiration

Le site Hollywood crush a posté un article ICI où Richelle Mead réponds à la question la plus récurrente. D'où lui vient l'inspiration?


Vous trouverez ci dessous la traduction.


Les gens me demandent souvent d’où vient mon inspiration et je réponds toujours que je n’ai pas la bonne réponse, parce que, eh bien, l’inspiration vient de partout, les gens, les endroits, les souvenirs. Il y a des merveilles tout autour de nous qui contiennent des lueurs d’inspirations. Voici l’une de mes plus inattendus :
Louisa May Alcott, plus connu pour avoir écrit « Les Quatre filles du Docteur March », avait d’autres romans moins connu dont « Rose et le clan Campbell ». C’est l’histoire d’une adolescente qui devient orpheline et envoyé dans la ville où son père a grandit, elle découvre qu’elle a 7 cousins et des tantes et oncles aussi excentriques que nombreux. Bref, le livre est bon, mais je n’ai pas eu de coup de cœur sur ce dernier. Celui que j’adore vraiment, c’est le tome suivant,« Les Vingt Ans de Rose ». Oui… ai-je mentionné que le nom de l’héroïne et Rose ? (Rose Hathaway n’a pas été choisie par rapport à la Rose Campbell de Louisa May Alcott, mais c’est certainement l’une des raisons pour laquelle je me sens si vivement proche de ce nom.
Dans « Les Vingt Ans de Rose » est devenue une jeune femme, et cela signifie qu’elle est prête pour faire ce que j’attends avec impatience : la romance ! Un des nombreux prétendants de Rose est Mac, son cousin l plus calme et le plus simple (c’était le 19ème siècle, et c’étaient cool ce genre de relation avec les cousins). Elle lui a gentiment dit que bien qu’elle l’aime comme un frère et comme un meilleur ami, il n’est pas le héros romantique dont elle rêve et qu’il doit passer à autre à chose. Il lui rétorque qu’il ne peut pas et qu’il continuera à l’aimer à sa façon tandis qu’elle continuera à vivre sa vie. Il commence alors son plan magistral où il ne montre plus jamais ses sentiments mais la convainc finalement en étant un véritable ami et en faisant tous ces subtils gestes romantiques qui la laisse finalement désorientée et avec une réalité « Hé, peut-être que mon meilleur ami peut être un héro romantique. »
J’adore cette histoire d’amour. Quand je me préparais à commencer “The Indigo Spell”, j’étais entièrement préparé à avoir Adrian en mode rêveur, râleur envers Sydney et/ou constamment entrain de gagner son cœur avec des gestes tape à l’œil. Alors j’ai pensé « Si il prenait l’approche de Mac ? » Si Adrian la joue un peu à la cool et genre« Okay, Sydney, fais ce que tu dois faire ». Je n’étais pas sûre qu’Adrian puisse le prendre aussi bien. Mac est personnage sérieux, patient, qui a l’habitude d’être sur la touche. C’est des termes qui ne sont pas utilisés pour décrire Adrian, mais j’étais soudent super excitée de voir si quelqu’un comme lui, qui a l’habitude d’être autant adoré qui a toujours ce qu’il veut, puisse devenir responsable et fort pour s’accrocher tout au long de l’aventure. Pourrait-il respecter les sentiments de Sydney assez pour reculer et non constamment essayer de prendre du terrain ? Pourrait-il être assez mûr pour ne pas être amer suite au rejet ? Et pourrait-il être assez patient pour voir si elle revenait de son plein gré, s’il continuait à être l’ami qu’elle sent devenir de plus en plus proche ?
Ces questions m’ont vraiment données envie d’écrire ce livre, et cela dit on revient sur le sujet initial de l’inspiration. Comme je le disais, cela vient de partout et souvent, c’est juste en se posant la question « Et si ? ». Vous verrez comme moi quelque chose dans un livre et ensuite vous le tournez dans tous les sens et le tournez dans un contexte totalement farfelu. C’est une bonne chose d’être un auteur. Vous imaginez des questions incroyables… et puis ensuite vous imaginez des réponses encore plus incroyables.
 

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